Séif Mostley

Le Stade de l'Amitié d'Agondjé situé dans la commune d'Akanda est depuis le 29 mars le théâtre de la Phase citoyenne du Dialogue Politique. Dès la mise en place des bureaux des panels, les participants manifestaient déjà de l'engouement. Bureau du Panel 4 ©SM D e s quatre panels, les numéros 3 et 4 sont les plus animés. Ils traitent respectivement de «   La Modernisation de la vie politique   » et de la «  Consolidation de la paix et de la cohésion nationale  ». On y dénombre un grand nombre de syndicats, ONGs et des personnalités politiques intéressés par ses questions. Chaque association est tenue dans un délai de dix minutes à présenter solennellement ses propositions puis déposer le rapport auprès du bureau du panel. De l’écoute des différentes interventions dans les deux ateliers, il ressort clairement la volonté pour beaucoup de pouvoir, à travers le Dialogue Politique, construire une nouvelle organisation sociale et politique capable de promouvoi

Le samedi, 1 er mars 2017, la Chambre de Commerce de Libreville servira de cadre pour les assises de l’Assemblée Générale Élective du bureau du Conseil National de la Jeunesse du Gabon (CNJG). A l’issue de la mise en place des délégations provinciales, quatre sur sept candidats proposés ont été retenus pour briguer la présidence du CNJG. Cette élection présente un enjeu majeur pour l’avenir de cette organisation qui a été réactivée il y a deux ans et demi par le Président de la République, Ali Bongo Ondimba. Le CNJG a besoin d’occuper une place de choix pour une meilleure représentativité de la jeunesse dans les instances gouvernementales et sa prise en compte dans la prise de décision. Le Chef de l’État a d’ailleurs consacré son second mandat à la jeunesse. Une volonté qu’il a encore réitérée récemment lors     du lancement du Dialogue Politique. « Faisons confiance à cette jeunesse. Impliquons – là dans les choix que nous avons à faire pour le pays que nous devons leu

Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba a présidé la cérémonie de lancement du Dialogue Politique, ce 28 mars 2017 au Palais de la Présidence de la République. Un moment solennel, placé sous le sceau de l’espoir à de lendemains plus radieux. Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, lors du lancement du Dialogue Politique ©SM «  Ce Dialogue politique s’ouvre sept (7) mois après la tenue de l’élection présidentielle du 27 août 2016, à l’issue de laquelle certains de nos compatriotes optèrent d’emprunter le chemin de la violence pour exprimer leur désaccord.  » a rappelé le Chef de l’Etat. Une période au cours de laquelle, le Gabon a connu la montée de forts clivages et des tensions sociopolitiques sans précédents. Or, «  la violence dans notre pays a toujours été un chemin qui n’a jamais mené nulle part, sauf à la désolation et au malheur collectif  » a – t – poursuivit.  L’assistance composée d’un peu plus de 600 personnes a eu droit à un rap

A quelques heures du l'ouverture officielle du Dialogue Politique , initié sous les auspices du Président de la République Ali Bongo Ondimba, les syndicats membres de la plate - forme "Bloc de la Première seconde" ont été reçu par le locataire du Palais des Mabres, . Le Président de la République Ali Bongo Ondimba, le 27 mars 2017 Aminata Ondo épouse Medogo, présidente de la fédération des syndicats des secteurs communication et travail , en sa qualité de représente de la plate - forme , a porté à l'attention du Chef de l’État  les problèmes que rencontre au quotidien les agents publics et privés, lesquels sont responsables de la situation de crise actuelle. Non sans louer les efforts d'Ali Bongo Ondimba dans la volonté de doter les Gabon des infrastructures nécessaire à son développement, Aminata Ondo a dit attendre plus du Président  de la République.  Elle a proposé la mise en place d'une commission composée: « des membres du gouvernement,

Jean Eyéghé Ndong, le 24 mars ©CEM - Infos Kinguelé. Le Sénateur du 2e arrondissement, Jean Eyéghé Ndong et des personnalités ayant été colistiers indépendant sous la bannière , "Le Gabon Pour Tous", ont décidé, dans le respect de la réglementation en vigueur, le Mouvement Citoyen pour une République Solidaire (MOCIRES). L'annonce a été faite à la chambre de commerce le 24 mars dernier par l'ancien Premier Ministre. La création de ce mouvement trouve son essence dans le fait que « dans notre pays, il y a plein de pauvres » selon Jean Eyéghé Ndong. Le MOCIRES a pour ambitions de servir de cadre de réflexion pour l'ensemble des personnalités qui suivent le natif de Nkembo. D'après l'élu, il ne s'agit pas d' «   un parti politique au sens légal du terme. Vous ne verrez jamais ceux qui sont avec moi aller vers le Ministère de l’Intérieur déposer un dossier de reconnaissance d’un parti [...] C’est un mouvement et non un p